Le combat noir est bicéphale. Si dans la diaspora, la lutte de l’Africain est identitaire et communautaire, comme abri façe à la négrophobie et le délire intégrationniste, en Afrique la première négrophobie vient de nos élites démophobes (c'est-à-dire qu'elles méprisent le peuple). Par conséquence, la lutte de classe devient une nécessité.